Serait-ce un compulsif besoin de reconnaissance qui transforme insidieusement nos réseaux sociaux professionnels en pâles plateformes d’autocongratulations et d’insipides autocélébrations? Avec une profusion de superlatifs, jusqu’à l’impudicité? Ou bien certains de ces étalages ne procèderaient-ils seulement que d’une maladie de l’ego, liée au besoin d’être reconnu? Habituel second, le manque de reconnaissance suit, à quelques micro-frustrations près, l’immanquable champion des doléances partagées: celle de la non-communication...