Toujours plus haut

Olivier Funk: Nous investissons beaucoup dans la formation et le développement de nos collaborateurs. Nous mettons tout en œuvre pour que nos collaborateurs soient les mieux à même de tenir leur rôle et affronter les défis du futur. Nous essayons aussi de les préparer – peu importe leur niveau hiérarchique – à utiliser leur potentiel pour passer au niveau supérieur. Les collaborateurs compétents et motivés ont également l’opportunité d’emmagasiner des expériences dans d’autres unités de notre organisation. Nous avons aussi mis sur pied des séminaires sur mesure, les «LiftCamps» pour nos monteurs et notre service technique, et les «Aufwärts bitte» (Plus haut s’il vous plaît) pour préparer la relève aux postes de management.

 

Notre priorité est de centraliser les aspects administratifs de la fonction afin de donner plus de marge de manœuvre à nos HR Business Partners sur le terrain. Ces prestations centralisées devraient encore mieux appuyer nos managers sur le terrain, notamment dans la gestion de la performance et du changement, le Leadership Development ainsi que sur la définition de nos valeurs. Avec notre projet «GRIP», nous travaillons actuellement sur notre culture d’entreprise, afin de modifier les états d’esprit et les comportements. Les priorités sont la relation client et le comportement de nos cadres. En parallèle, nous sommes en train de mettre en œuvre un programme pour analyser les retours sur investissements de nos formations.

 

Il s’agit de poser les jalons de notre changement de culture. Nous devons tenir compte des enjeux culturels, organisationnels, technologiques et démographiques tout en nous efforçant de maintenir les bonnes personnes au bon endroit. Nous avons pris du retard culturellement et devons encore fournir des efforts pour rester attractif sur le marché de l’emploi.

 

Sans doute pour améliorer nos processus administratifs afin de soutenir encore mieux nos managers RH sur le terrain.

 

Il ou elle doit comprendre le business, afin d’anticiper les besoins et de soutenir la ligne. Cela dit, je ne crois pas au manager RH «tout terrain» puisque la fonction exige des expertises très pointues dans des domaines différents. C’est sans doute le bon mélange dans l’équipe RH qui est déterminant.