(ats) L'initiative exige un congé paternité de 20 jours qui peut être pris de manière flexible dans l'année qui suit la naissance de l'enfant. Cette assurance paternité serait financée via les allocations pour perte de gains (APG) comme le congé maternité.
Selon les initiants, cela représenterait 0,06 pour cent du salaire des travailleurs et des employeurs. En cas de "oui", l'initiative devrait être appliquée dans les trois ans.