Au cours des 18 derniers mois, B Lab Suisse a soutenu la banque privée vaudoise dans l’obtention de la certification B Corp attribuée sur la base d’une norme internationale indépendante afin de pérenniser son engagement. Évaluée sur un peu moins de 200 questions, la certification confirme que Piguet Galland répond aux exigences sociétales, environnementales et de gouvernance mais aussi de transparence envers le public. Son premier score de 110,6 dépasse largement le minimum requis de 80 points.
L’adhésion de la Banque à la fondation Swiss Sustainable Finance, au programme Swiss Triple Impact et au Swiss Boards for Agenda 2030, sont plusieurs autres marqueurs de la détermination de l’institution financière de construire une culture d’entreprise saine, équitable, humaine, transparente, responsable, accueillante où chacun a la possibilité de trouver sa place et de développer ses compétences, souligne un communiqué. Cette démarche s’adresse aux collaborateurs mais s’intéresse aussi aux autres parties prenantes, à l’impact de la Banque sur l’environnement et sur les communautés avec lesquelles elle interagit depuis ses six bureaux en Suisse romande. Face aux défis majeurs auxquels la société est confrontée, Piguet Galland, à son échelle locale et régionale, doit «faire sa part» et contribuer de manière responsable à promouvoir des solutions qui aideront à créer un futur durable.
«En matière de durabilité, les banques suscitent beaucoup de méfiance, pourtant, le
secteur financier est un acteur incontournable de la transition», note Candice Vogt, Responsable RSE de Piguet Galland. Les domaines analysés par B Lab touchent évidemment au métier de la banque, en mettant notamment l’accent sur la gestion d’actifs et en favorisant l’investissement responsable. L’approche de la banque repose sur la transparence de son processus de sélection, la sélection de critères quantitatifs mesurables en se focalisant sur les thématiques alignées avec ses valeurs. L’objectif est de préserver les investissements de ses clients en limitant les risques liés à la durabilité. Les domaines s’étendent également à d’autres aspects de l’entreprise tels que la gouvernance, la culture d’entreprise, les fournisseurs, l’infrastructure etc. «C’est en concrétisant ses engagements chaque année et en réévaluant sa situation périodiquement que la Banque met ainsi en place une réelle stratégie RSE. Ce n’est que le début du chemin», souligne Candice Vogt.