«Augmenter la performance de l’entreprise passe par des solutions pensées pour les collaborateurs»

Quel est l’élément clé aujourd’hui d’un bon SIRH?

Chez Lucca, nous avons très vite compris que les données collaborateurs étaient une mine d’informations qu’il fallait mettre à disposition des entreprises; c’est une vraie force stratégique pour les organisations. Nous pensons que les sociétés qui réussiront à structurer et exploiter au mieux cette connaissance sur leurs collaborateurs seront celles qui tireront leur épingle du jeu dans la course à la compétitivité.

Qu’est-ce donc alors qu’un SIRH performant?

Le SIRH a considérablement évolué au cours des dernières années. Auparavant pensé principalement pour le service des ressources humaines, il s’intéressait peu à ses principaux acteurs: les salariés (et leurs données)!

Chez Lucca, nous pensons qu’un bon SIRH, outre augmenter l’efficacité des collaborateurs en leur faisant gagner du temps, doit favoriser l’engagement de ces derniers (pour lutter dans la «Guerre des Talents»), mais également permettre à l’entreprise de devenir plus efficiente. Il doit être «data centric» et permettre à l’entreprise de se créer de véritables modèles prévisionnels sur le turnover, l’absentéisme, la masse salariale, etc.

Chez Lucca, nous nous sommes donc attelés à sortir de la seule gestion des processus liés à la paie, à la gestion des dépenses ou encore au suivi des temps de travail, pour ouvrir le SIRH vers la data et l’engagement.

En quoi ce positionnement est-il différenciant?

Depuis la création de Lucca, nous concevons des logiciels en fonction de ceux qui les utilisent le plus, à savoir les managers et les salariés. Cette approche garantit une meilleure efficacité au quotidien, en supprimant ou en simplifiant les processus RH et administratifs les plus pénibles. C’est la base.

Puis en travaillant sur le design et l’ergonomie de nos solutions, en sondant régulièrement les collaborateurs pour voir si tel ou tel usage est assez intuitif.

Pour finir, en ajoutant des mécanismes permettant d’exploiter toute la donnée ainsi récoltée. Au final, notre priorité reste d’augmenter indirectement la performance de l’entreprise en huilant les rouages de la machine.

Cela passe également par des évolutions technologiques?

Au niveau technique, en effet, nous sommes sortis depuis très longtemps déjà du modèle «On-Premise» pour basculer sur un modèle 100% SaaS, avec la culture, les ressources et la flexibilité nécessaires pour adapter ou développer rapidement une solution capable d’adresser un besoin émergent.

De plus en plus nous injectons de la Business Intelligence dans nos solutions, ce qui nous permet de détecter des signaux faibles comme: y a-t-il un lien entre absentéisme et demande de mobilité géographique? Entre montant des bonus et turnover? Et dans quelques années nous serons arrivés à l’IA et le SIRH sera encore très différent de ce qu’il est aujourd’hui.