«Better the devil you know than the devil you don’t». Ce dicton soutient la thèse qu’il vaut mieux connaître les défauts d’une personne que de les découvrir avec le temps (et de se bercer d’illusions qu’il n’y en a pas).
Quand on demande à un échantillon de personnes prises au hasard d’estimer leur propre compétence en conduite automobile, environ 80% du groupe se dit au-dessus de la moyenne. Il y a un problème!