Aujourd’hui, les entreprises se libèrent et les structures hiérarchiques s’aplatissent.Qu’en est-il de l’autorité et du pouvoir, deux ingrédients indispensables du leadership. Analyse.
Business coach en Suisse romande depuis plus de 15 ans, Bernard Radon accompagne les managers dans la progression de leur carrière. Il analyse ici les ingrédients du pouvoir et de l’autorité à l’ère des entreprises libérées.
Le style de management directif est aujourd’hui remis en question. Les collaborateurs attendent désormais plus de bienveillance et d’équité. Cette nouvelle posture n’implique pas forcément de supprimer les structures hiérarchiques.
Il multiplie les interventions dans les médias depuis trois ans. Le CEO de Loyco à Genève (externalisation de prestations RH, finances, assurances et marketing), Christophe Barman explique ici comment il met en pratique son leadership dans une entreprise libérée.
Après plusieurs années d’activité intense dans des grands groupes internationaux avec des fonctions dirigeantes élevées, j’ai décidé en 2012 de mettre mon expérience au profit d’une petite structure.
Près de 10% des plus grandes sociétés américaines l’ont supprimé pour le remplacer par un dispositif d’évaluation en continu. Google, IBM, General Electrics et la banque Goldman Sachs par exemple.
Pour renforcer la cohésion du groupe, l’équipe RH d’Ikea Suisse célèbre de nombreuses fêtes traditionnelles suédoises. Ils se réunit également chaque semaine pour une «Fika». La DRH Carin Hammer détaille ici ses défis.
La révolution 4.0 va bouleverser le décisionnel d’entreprise. Quelles sont les différences entre la BI Classique et la BI 4.0? Qu’estce que cela va changer dans les comportements décisionnels et le fonctionnement interne des entreprises? Quelles opportunités pour les RH?
Ce titre pourrait passer pour une provocation. Il n’est cependant qu’une simple réalité de pur bon sens, dont attestent tous ceux qui savent vraiment manager ou gouverner, parce qu’ils l’ont appris.
Le limogeage récent de deux grandes patronnes américaines met en lumière les pressions des financiers sur les rares femmes à la tête de multinationales. Ces deux licenciements portent aussi un coup aux efforts pour diversifier les états-majors des entreprises.