Fondatrice de Capability Jane, une société de recrutement britannique spécialisée dans le recrutement de cadres à temps partiel, Sara Hill conseille les entreprises qui souhaitent mettre en place des politiques de jobsharing. Elle détaille ici la réalité contrastée qui se cache sous les chiffres. 

Partager, c’est beau, mais lorsqu’il s’agit de partager le travail, chacun espère peut-être secrètement en avoir moins que les autres. C’est pourquoi le jobsharing suscite des appréhensions. À tort, affirment ceux qui l’ont testé. 

Les recruteurs et responsables RH romands utilisent de plus en plus les réseaux sociaux pour recruter, indique une étude de l’Université de Fribourg. Le nombre de contacts sur LinkedIn grimpe lui aussi fortement. Analyse. 

Digitalisation des flux d’information, flexibilité du temps de travail, télétravail, crowd working, travail horizontal par réseaux numériques et intelligence collective: ces nouvelles tendances forment ce que l’on nomme le Travail 4.0. Le jobsharing s’inscrit dans cette évolution. 

Le jobsharing permet notamment de préserver les talents, de favoriser la transmission des savoirs entre générations, de diminuer les absences et de faciliter les remplacements. Voici une feuille de route pour implémenter une politique de jobsharing en entreprise. 

Le consultant RH Ulrich von Känel ne jure que par l’expérience des recruteurs seniors. Responsable du sourcing des candidats au groupe Tamedia, Angelo Ciaramella propose au contraire de limiter l’âge des recruteurs de Digital. 

Qu’est-ce donc que la Contribution? Des utopies collectivistes ont jadis tenté de l’organiser et de l’imposer: tous y devaient entretenir et développer un «Bien Commun», capital collectif et intangible de notre humanité, afin d’en opérer ensuite le meilleur partage possible. 

HR Today et Kireego ont conclu un partenariat. La plate-forme Kireego permet à des prestataires de services RH (ou d’autres) d’adresser des offres aux abonnés HR Today via une application. Interview du CEO de Kireego, Christophe Lukundula. 

Taper le nom d’un candidat sur Google permet souvent aux recruteurs d’opérer un tri. Une récente étude sur le «screening» des candidats lève le voile sur cette pratique de plus en plus courante.