Le personnel d'entreprises cotées est parfois le dernier au courant lors de rachats ou de licenciements. Par peur d'être sanctionnées par la Bourse suisse, certaines firmes informent d'abord la presse et la bourse, hors heures de cotation. Pourtant, toutes les parties interrogées estiment qu'il est possible d'avertir le personnel simultanément, voire même avant.