Est-ce une conséquence incongrue de l’envahissante financiarisation de l’économie et du court-termisme systémique qui en résulte? Serions-nous les victimes inconscientes d’un envoûtement numérique, obscure et toxique contrepartie d’une universelle digitalisation? Existerait-il un syndrome généralisé d’imposture, motivant ce comportement nouveau, entre le marathon de l’extrême, version Iron Man, et une profonde dépression émotionnelle, évaporant toute énergie?