Si – de l’administration du personnel dans l’organisation bureaucratique classique jusqu’à la gestion des Ressources Humaines dans ses déclinaisons néo-tayloriennes – la discipline-profession RH s’est bien alimentée d’une succession de courants de pensée issus d’horizons scientifiques divers (théories mécanistes, psycho-sociales, socio-techniques, cognitives ...), j’ai l’intime conviction qu’elle traverse aujourd’hui, disons, «le plus gros passage à vide idéel» de son histoire.