Dans une précédente contribution parue dans cette même rubrique, j’invitais la profession à en finir avec l’idée de «ressource» et à dépoussiérer un appareillage théorique qui semble indubitablement vieillissant, plus tout à fait en phase avec les nouvelles réalités du monde du travail. Car sur fond de révolution numérique, nous mesurons tous chaque jour combien les organisations professionnelles, pour continuer à subsister, n’ont d’autre option que de s’adapter à ces nouvelles réalités, de prendre le train de la digitalisation et d’engager les mutations profondes que celle-ci impose (informatisation des données, dématérialisation des supports, etc.).