Le cabinet de recrutement est un lieu hybride: le candidat vient certes y chercher un emploi mais son interlocuteur n’est pas l’employeur. Quel comportement adopter par conséquent? Celui du chercheur d’emploi qui a réponse à tout et qui souhaite se présenter sous son meilleur jour, espérant ainsi augmenter les chances que le consultant pousse son dossier? Ou alors adopter une posture plus ouverte et utiliser l’expérience et les compétences du consultant pour faire avancer sa réflexion? Et ainsi recevoir un avis critique, empreint de bienveillance et d’une certaine objectivité.

Nombreux sont les candidats qui mentionnent encore leurs hobbys dans leur CV. Est-ce vraiment utile? Voire même contre-productif dans certains cas? Deux responsables RH en débattent.

Les discussions vont bon train sur un sujet brûlant: y a-t-il une pénurie de main-d’œuvre et, si oui, dans quels métiers? Une nouvelle étude publiée par swissstaffing et gfs-zürich apporte une réponse: une pénurie, oui, mais pas comme on l’imagine.

Les peurs liées à l’évolution du monde du travail et de la société sont souvent irrationnelles. Un programme d’outplacement vise à renforcer l’agilité des personnes en transition de carrière, et surtout de faire émerger un positionnement clair et bien ciblé.

Depuis 20 ans, Frédéric Dupuis pilote les RH de la Police cantonale vaudoise. Dans une interview vidéo accordée à HR Today, cet ancien gendarme explique les particularités de sa branche en matière de gestions des ressources humaines, notamment la nécessité d'une vision à long terme et d'une grande réactivité face aux absences des collaborateurs.

DRH de la police cantonale vaudoise depuis 20 ans, Frédéric Dupuis s’apprête à quitter la Blécherette, où il est entré en 1979 comme simple gendarme.

Le DRH de Sensirion (fabricant de capteurs) n’hésite pas à innover pour augmenter la visibilité de sa marque employeur. «Si vous voulez atteindre les profils atypiques et brillants, il faut oser se démarquer», dit-il.

La blockchain est traitée comme la nouvelle technologie par excellence. À tort ou à raison, c’est ce que l’on va voir en Suisse. Pour la branche des services de l’emploi, la blockchain recèle des potentiels, mais aussi des risques. En effet, de nombreux projets tentent de supprimer les intermédiaires.

J’ai récemment écouté une chronique sur le «ghosting», ou comment un candidat sélectionné pouvait cesser tout contact avec l’entreprise et disparaître purement. Quelques années après l’avènement Glassdoor, j’ai pensé que se produisaient dans notre monde professionnel d’étonnants retours de bâton.