En Europe, partager son bureau est devenu la norme: moins d'un tiers des salariés dispose d'un espace individuel, le reste se partage des lieux collectifs comme l'open-space. Selon une étude publiée mardi, cette situation cause des insatisfactions.
Travailler pendant une longue période en horaires décalés, notamment la nuit, accélère le vieillissement cognitif, selon une étude. Ce genre d'emploi est déjà suspecté de jouer un rôle dans divers problèmes de santé comme les ulcères, maladies cardiovasculaires ou autres cancers.
De plus en plus d’entreprises se posent la question de l’instauration d’un dress code ou vêtement d’image pour leurs employés. Cette progression s'accélère dans les sociétés de service, car il fait partie de leur identité visuelle face à la concurrence.
Vingt entreprises ont décroché cette année le label « Friendly Work Space ». Cette distinction leur a été remise par Promotion Santé Suisse afin de récompenser leurs efforts systématiques pour optimiser leur politique dans le sens de conditions de travail favorables à la santé.
Plus d'un million des 4,9 millions de travailleurs en Suisse souffre de stress excessif et deux millions d'épuisement plus ou moins important sur leur lieu de travail. Ce surmenage coûte quelque 5,6 milliards de francs par an à l'économie suisse.
Sheba Corti est DRH du Département de l’environnement, des transports et de l’agriculture (DETA), à l’Etat de Genève. Elle a réalisé un Master RH sur l’impact de la Paix du travail sur le processus de négociation d’une CCT (convention collective de travail), aux Universités de Genève, Lausanne, Neuchatêl et Fribourg.
Le certificat de travail complet doit être établi de manière bienveillante, car il a pour but d’encourager l’avenir professionnel et économique du travailleur et de donner une image aussi fidèle que possible de son comportement et de sa performance (JAR 2004 p. 598).
Urs Klinger et Dieter Kissling croisent le fer sur l'utilité et la pertinence d'une hyper-connectivité.