Déjà très importants aux yeux des femmes, les facteurs doux gagnent désormais aussi en popularité auprès des hommes dans le monde du travail. Quant aux employées, elles prennent de plus en plus leur destin en main.

Une étude de plus vient confirmer l’importance de la marque employeur pour attirer les talents. Le podium actuel des entreprises les plus recherchées sur internet est composé de l’Aéroport de Zurich, des CFF et de la Migros.

Le contexte organisationnel des institutions étatiques évolue. Une thèse en cours précise les nouveaux leviers de l’engagement des agents publics. Premiers résultats.

Pour renforcer la cohésion du groupe, l’équipe RH d’Ikea Suisse célèbre de nombreuses fêtes traditionnelles suédoises. Ils se réunit également chaque semaine pour une «Fika». La DRH Carin Hammer détaille ici ses défis.

L’équipe RH de Weleda est dispersée sur plusieurs sites. La responsabilité individuelle est donc fortement ancrée dans leur culture. La DRH Andrea Kurz en est persuadée: les bonnes idées ne coûtent pas forcément de l’argent. Elle ne doublerait donc pas son budget RH.

Les lettres de motivation sont autant insignifiantes que les profils de poste qu’elles essaient de décrocher, estime le blogueur Henner Knabenreich, spécialiste de la marque employeur. Il propose de les supprimer. Le consultant senior Roman Bodenmiller n’est pas de son avis et y reste attaché.

«Travailler chez Valora devrait être une expérience positive», assure Jonathan Bodmer, DRH des 5300 collaborateurs du groupe actif dans le Retail et les Food Services. Avec son équipe RH de 20 collaborateurs, il développe également des projets SIRH et un tableau de bord.

Vingt ans déjà que ce concept est entré dans les pratiques managériales. Bilan et témoignage.

Diriger un groupe d’entreprise de trois PME aux missions distinctes requiert chaque jour une certaine remise en question dans l’organisation des projets et l’optimisation de mes équipes. Chaque projet est un nouveau challenge et même si la plupart du temps la problématique du client nous est connue, la mise en œuvre est toujours différente.

Alors que l’année dernière encore, les sujets «abstraits» tels que le respect des employés préoccupaient beaucoup les futures salariées, ce sont désormais des thématiques plus «concrètes» (salaires, évolution dans l’entreprise, etc.) qui ont la priorité pour elles. C’est ce qui ressort de l’Universum Student Research Switzerland 2017.