Le principe de la liberté contractuelle implique que chaque partie peut mettre un terme à la relation de travail sans restriction et sans motif particulier. Ce principe souffre de nombreuses exceptions.
Ces cinq dernières années, plus de 64 000 personnes de 20 à 69 ans se sont vues diagnostiquer un cancer. Environ 60% de ces personnes reprennent le travail après leur traitement.
«Nous avons besoin de plusieurs centaines de places de travail pour des personnes qui ont des compétences que vous n’avez pas!» C’est le motif de licenciement que des employés de tous niveaux hiérarchiques se voient servir ces jours en Suisse romande...
Insatisfaction chronique, peu de possibilités d’évolution de carrière ou simplement le besoin d’accumuler de nouvelles expériences: les raisons qui poussent un employé à postuler ailleurs sont nombreuses. Que faire par contre si l’employeur découvre que son collaborateur cherche activement un nouveau poste?
Depuis le début d’année, la société DER Touristik Suisse SA (voyages Kuoni) vit de nombreux changements. Jonas Belardinelli, qui dirige les services RH, et Pavla Huber, responsable des relations RH, reviennent sur ces défis.
L’âge et l’ancienneté du travailleur suffisent-ils à rendre son licenciement abusif? Le travailleur peut-il prétendre, par principe, à recevoir une indemnité correspondant au maximum légal de six mois de salaire?
Même s’il n’y avait qu’une petite part de vérité dans «DRH: la machine à broyer»*, ce ne serait pas bon pour l’image des RH. Mais cela suffit à susciter des réactions outrées sur les réseaux sociaux.
Se retrouver sans emploi au mitan d’une carrière soulèvera de nombreuses questions. Voici une feuille de route et quelques outils pour rebondir.
Kornel Tinguely et Gilbert Staehli, experts en finance et controlling de la place lausannoise, reviennent ici sur les étapes d’une mise en faillite. «L’erreur classique est d’ignorer les signaux avant-coureurs», disent-ils. «Oser en parler et demander de l’aide», sont des actes difficiles mais salvateurs.
Plus de 28000 sociétés (toutes formes juridiques confondues) ont fait faillite en Suisse en 2016. Ces faillites ont été compensées par plus de 41 000 créations d’entreprises durant la même période. Analyse de ces chiffres et de leurs conséquences pour les travailleurs.