HR Today a demandé à trois personnalités, qui connaissent bien la vie en entreprise, de nommer un tabou en organisation et d’en détailler les mécanismes. Voici donc trois témoignages édifiants.
Il y a 50 ans, nos fonctions n’existaient pas. Pourquoi perdureraient-elles à l’infini, mues qu’elles seraient par une main protectrice invisible? Il est donc arrivé l’heure de lancer une véritable croisade afin de reconquérir le terrain perdu et de retrouver une capacité d’influence au sein de nos organisations.
Le futur président du conseil d'administration du groupe pharmaceutique bâlois Roche devrait s'appeler Christoph Franz. Agé de 53 ans, le directeur général du transporteur aérien Lufthansa sera proposé à l'élection lors de l'assemblée générale du 4 mars prochain.
Il existe trois sortes de cadres: d’abord les experts qui savent faire. Ensuite les managers qui, eux, savent faire faire. Enfin les leaders qui donnent envie de faire, autrement dit qui sont source d’inspiration.
En Suisse, les filles continuent à être orientées préférentiellement vers des métiers «féminins» – les métiers du soin, par exemple, moins prestigieux et moins rémunérés – , et les garçons vers les métiers «masculins» – les métiers de l’ingénierie notamment.
Le sociologue des organisations Jean-François Chanlat a créé une nouvelle lecture de la vie en entreprise avec son ouvrage fondamental «L’individu en organisation. Les dimensions oubliées». De passage à Lausanne, il revient ici sur les traces laissées par ses travaux.
La disparition du patron de Swisscom Carsten Schloter, qui a mis fin à ses jours, met le doigt sur la fragilité potentielle des managers. Et sur la nécessité de briser l’omerta qui entoure ce phénomène, souligne "L'Hebdo» dans un dossier consacré à la question.
Plus de 40% des DRH suisses estiment que leurs employés viennent (trop) fréquemment au travail dans une tenue inappropriée. C’est le résultat d’un sondage mandaté par Office Team et mené auprès de 250 personnes en terres helvétiques et allemandes.