Lors de l’entretien de présentation, 20% des candidats ne sont pas authentiques. Les recruteurs en seraient largement inconscients.

Selon Anita Reichmuth, directrice d’une société de conseils RH, le cadre juridique actuel autorise les entreprises à indiquer une tranche d’âge dans leurs offres d’emploi. Manuel Keller, directeur de l’unité Emploi et Conseils auprès de la Société des employés de commerce, est d’un autre avis. Ce serait la preuve d’une politique RH défaillante, dit-il.

Les jeunes de la «génération Z» ont une approche du marché du travail bien plus traditionnelle qu’on pourrait le penser. C’est ce que révèle un sondage mené par Adecco auprès de 500 futurs salariés.

Bien que la filiale Suisse de Samsung n’existe que depuis juillet 2013, son équipe RH a obtenu en avril dernier le Swiss HR Label. Le DRH André Weber détaille ici les projets en cours. 

Gros succès pour le premier colloque suisse sur le jobsharing, organisé début mai à l’Université de Fribourg. Plus de 220 personnes étaient au rendez-vous. Sans doute le premier indicateur que ce sujet va prendre de l’ampleur à l’avenir. Car le jobsharing répond à une demande croissante pour des postes à responsabilité à temps partiel.

Etre davantage proactifs, digitaliser leurs outils et développer leur marque employeur: s’ils veulent s’assurer l’embauche des meilleurs talents, telles sont les recommandations dont doivent tenir compte les recruteurs, selon une enquête de JobCloud.

L’écart continue à se creuser entre les régions linguistiques du pays en matière d’offres d’emploi. En mai, le nombre de postes vacants mis au concours sur Internet a chuté de 5% en Suisse romande en rythme annuel, alors qu’il augmentait de 1% Outre-Sarine.

Helvetia est le meilleur recruteur du pays, selon la deuxième édition de l'étude Best Recruiters. L'assureur, qui a obtenu la note 85,5 sur 100, devance le TCS et Hays.

La tendance était pressentie depuis plusieurs années. Les chiffres viennent désormais la confirmer: le secteur du recrutement s’est mis à l’heure 2.0. Pour la première fois, l’étude Trend Report de Prospective montre une préférence des recruteurs pour les outils électroniques plutôt que pour les supports imprimés.

Peut-on « faire carrière » sans diplôme supérieur, voire sans diplôme du tout ? Cette question était au cœur d’un débat qui s’est tenu sur la scène de la formation du dernier Salon du livre de Genève. Invité à s’exprimer aux côtés de Babette Keller, Christian Python et Blaise Matthey, le spécialiste du recrutement Frank Gerritzen revient sur les points forts de l’événement.