Cette expression évangélique n’est-elle pas des plus libérales? Dans de nombreuses langues, l’esprit est dérivé de mots qui signifient le souffle. Pourquoi le traduit-on aujourd’hui souvent par «immatériel», comme si cette négation avait le moindre contenu? Mon hypothèse est que le «spirituel» devient dangereux lorsqu’on feint de le dématérialiser, de le désincarner.
L’ancien directeur de l’Institut universitaire romand de santé au travail, Michel Guillemin, explique ici pourquoi la spiritualité au travail doit être prise au sérieux.
Comment expliquer l’intérêt porté aux techniques de méditation en entreprise? Le sujet est tabou puisqu’il ouvre sur le champ bien plus large de la spiritualité dans le management, un thème rarement abordé en public.
Non seulement il est normal, mais plutôt rassurant, de ne pas se sentir bien avant de prononcer un licenciement. Situé dans l’inconscient collectif entre le divorce et la peine capitale, il s’agit d’un acte qui n’a rien de banal. Il est bon de le rappeler, à l’ère du tout-jetable et dans une économie où certaines théories ultra-libérales ont créé des dégâts assez graves dans les liens censés unir employeurs et employés.
Les dirigeants actuels ont la lourde tâche de guider leur organisation à travers de multiples changements, exogènes et endogènes, tout en gérant le leur. Il est crucial de savoir identifier les types de changement auxquels ils font face – techniques ou adaptifs – pour y apporter la bonne approche.
Le directeur de Nespresso Suisse, Pascal Hottinger, dont le portrait a été publié dans l'édition d'octobre 2014 de HR Today, revient ici sur son style de management et pourquoi la bienveillance stimule la performance économique. Journaliste: Marc Benninger. Images, son et montage: Pierre-Yves Massot/arkive.ch. Droits: jobindex media ag. Interview réalisée le 2 septembre 2014 à Paudex (canton de Vaud).
Pour la sixième année consécutive, Google prend la tête du classement mondial des employeurs les plus attractifs réalisé par Universum. Quatre entreprises suisses figurent dans le top 50: il s'agit de Nestlé (20e), Credit Suisse (32e), UBS (40e) et Novartis (48e).